Voyage au Viêtnam, Juillet 2011: Au revoir HANOÏ

Vendredi 08 Juillet 2011

Ce matin, on quitte Hanoï. Il faut dire que nos oreilles commencent à souffrir vraiment du vacarme de la rue. N'empêche qu'on est quand même un peu triste de quitter cette ville très vivante et accueillante. Aujourd'hui il y a encore plus de monde, car c'est le jour des concours pour l'entrée des étudiants à l’université. On ne peut même pas marcher sur les trottoirs les scooters nous bousculent, il y a de nombreux bouchons. Notre avion pour Nha-Trang est à 15h30, nous décidâmes de prendre notre déjeuner tôt et partir à l'aéroport distant de 36 Km de la capitale vers 12h15. Malgré la circulation dense nous arrivons 1h30 avant le décollage juste pour l'enregistrement . J'avais oublié de vous dire qu'au lieu de faire un vol direct Hanoï - Nha-Trang nous faisons deux vols, nous aimons bien l'avion. Notre 1° Vol environ 2h - 1400 Km Hanoï - Ho Chi Minh (ex Saïgon), et le deuxième 1h - 400Km Saïgon - Nha Trang, nos deux vols se sont effectués en Airbus 321 (environ 200 Places).
Nous arrivons enfin vers 22h30. En 2000 j’atterrissais directement dans le centre de Nha-Trang, maintenant l'aéroport est à 42 Km du centre de la ville, et nous avons attendu un taxi pendant une 1/2h, (Toujours avec le sourire Zen), il était donc minuit lorsqu'on arriva chez une des sœurs à Vinh dans le centre ville de Nha-Trang.
C'est pour cela que j'ai un peu de retard aujourd'hui, à la maison la connexion internet bas débit, n'est pas excellente, j’aurais sans doute des problèmes a vous envoyer des photos.

Cultures Familles vietnamienne

D'une part, les ménages vietnamiens se composent généralement des parents, des enfants et même des grands-parents. Si le modèle de famille nucléaire occidental commence à se développer au Vietnam. le modèle traditionnel demeure cependant une référence. les aîné sont extrêmement respectés.
De type patriarcal, la famille était fondée sur les valeurs de fidélité, de piété familiale, de politesse et de générosité. La piété familiale, considérée comme la première vertu, rend tous les membres de la famille, vivants ou morts, solidaires dans le malheur ou dans la joie. Les morts, jusqu'à la neuvième génération, sont associés par le culte des ancêtres.
La famille n'admet en général aucune intrusion des pouvoirs publics dans son organisation. Elle est soumise à la seule autorité du chef de clan qui perpétue les traditions familiales. Ces traditions, réservant aux hommes les affaires réputées intellectuelles, attribuent à la femme toutes les tâches ménagères et quelquefois les travaux pénibles : cultiver le jardin, repiquer le riz... Elles sont aussi chargés de la gestion du foyer et de l'éducation des enfants.
En ville, les mœurs évoluent plus rapidement, le poids de la famille est moins contraignant et la plupart des jeunes choisissent leur conjoint. Mais, paradoxalement, la religion connait un nouveau essor, les temples et les églises sont très fréquentes, les conseils des bonzes ou du clergé sont écoutés.